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Dans la nuit du 23 au 24 janvier 1960, tandis que les barricades se dressent dans les rues d’Alger, Jacqueline Loutel et son mari, Pierre, industriel en renom, donnent un dîner dans leur hôtel particulier parisien qui va bouleverser l’existence de trois des invités : le critique Paul Noiret, la jeune artiste Brigitte Laugier et l’Égyptien Samy Salem. Ce dernier, coincé entre sa formation entièrement occidentale, et la crise des relations franco-arabes, entrevoit vaguement, au travers de la toile des événements de la soirée des Loutel, une solution possible à son déchirement. Afin de tirer au clair ce qui lui arrive, Salem décide d’analyser la soirée. Mais il est dépassé par sa propre entreprise : au passé récent (la soirée), au passé lointain (souvenirs), au présent (temps de l’écriture), s’ajoute en quelque sorte une quatrième dimension, constituée par les relations entre le narrateur et sa narration. Ainsi, la tentative de Samy Salem l’emporte-t-il bien au-delà de son but initial : en essayant de surmonter les difficultés qu’il rencontre en chemin, il découvre sa vérité du moment. Vérité sans doute éphémère, mais bien utile pour lui. Pourquoi ne pas utiliser sa culture française, et sa connaissance des Français, pour devenir un trait d’union entre les tendances contradictoires, plutôt que de rester en France avec un complexe d’inadapté, d’indésirable ?