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Le 2 août 1793, six mois après l’exécution de son mari, Marie-Antoinette-Josèphe-Jeanne de Lorraine, archiduchesse d’Autriche, ci-devant reine de France, et désormais veuve Capet, âgée de 37 ans, mère de deux enfants, est transférée à la Conciergerie, antichambre de la mort. Traduite devant le Tribunal révolutionnaire le 14 octobre, elle est guillotinée le 16, après avoir subi tous les outrages qui puissent être infligés à un être humain, à une femme, à une mère. Pendant ces jours d’incarcération, d’interrogatoire et de procès, Marie-Antoinette, étrangère punie pour avoir voulu régner sur la France, se souvient des temps heureux, puis du flot de haine qu’elle a suscité. Elle ira jusqu’au bout, “à la bravade”, sans comprendre comment sa mort est l’avers, ou le revers, de sa vie de reine. Les malheurs de Marie-Antoinette parleront toujours plus à la mémoire des hommes que ceux de toute autre femme. Comme il l’a fait pour Louis XVI, Pierre Sipriot reconstitue les derniers gestes, les derniers mots, la dernière mémoire de celle qui, au cours de sa brève existence, passa de la grandeur souveraine à la grâce du pardon, comme si Louis XVI lui tendait les bras pour l’aider à trouver sa mort.