Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Ces vingt-trois siècles de Lawrence Durrell, c’est l’itinéraire exemplaire d’un homme de l’Occident en passe de résoudre ses contradictions, ou parvenu peut-être à retrouver l’état d’innocence première, à déjouer les pièges de l’aristotélisme, et à réconcilier temps et espace en une cosmogonie lumineuse et sereine. Paul Hordequin vit dans le Gard, et connaît Durrell depuis bien des années. Comme tous ceux qui l’ont approché, il a été fasciné par ce « premier Anglais », cet étonnant Païen anglo-saxon. L’essai qu’il nous livre sur l’homme et son œuvre, est très personnel, très « concerné ». Une sorte de biographie poétique, de patient décryptage, en intime osmose avec le texte même, dans tout ce qu’il recèle d’émotions véritables, de sensations immédiates et révélatrices d’une personnalité en pleine gestation. La mer, le ciel méditerranéen, la flûte des bergers, sont partout présents. Mais, aussi bien, le recours à des données d’ordre psychanalytique ou scientifique, permet — à travers chaque livre de Durrell (et chaque étape de sa vie) : du Carnet noir à Tunc, Nunquam et au Monsieur, en passant par cette œuvre capitale qu’est le Quatuor d’Alexandrie — de comprendre comment s’élabore cette réconciliation douloureuse du poète avec lui-même, comment cette « progéniture enténébrée de l’Occident bâtard » a pu engendrer une œuvre prométhéenne comme le Quatuor, réplique européenne du Mandala, ce cercle magique des moines tibétains qui résume toutes choses. Mais l’un des secrets de Durrell n’est-il pas sa naissance au pied de l’Himalaya, non loin de ce Lhassa dont il rêvait à onze ans ?