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Submergés chaque jour davantage par une invasion de films qui n’ont de cinématographique que la pellicule avec laquelle on les a tournés, allons-nous capituler, selon le cas, avec dégoût ou avec indifférence ? François Chalais, lui, prend parti, et il le fait avec une verve dont la violence s’appuie sur une documentation précise. Son livre brosse le panorama des nouveaux seigneurs du Vice considéré comme l’un des beaux-arts, personnages hauts en couleur ou blafards, stupides ou rusés, mais tous réunis par la satisfaction de l’argent gagné à bon compte. Étonnante galerie d’œuvres et de portraits, où les coupables n’hésitent pas à se cacher parfois derrière les alibis de la littérature, de la médecine, de la politique, au nom, bien sûr, de la liberté d’expression et de leur souci d’édifier des lendemains meilleurs... Mais l’auteur va plus loin. À mille lieues du puritanisme, il montre que s’incliner devant la pornographie, c’est en réalité assassiner le cinéma, et rendre impossible l’éclosion de nouveaux Fellini, de nouveaux John Ford, de nouveaux Buñuel. C’est empêcher les comédiens d’exercer honnêtement leur métier. C’est menacer dangereusement la raison des spectateurs. L’avenir appartient-il irrémédiablement à la bassesse, à la perversion sadique, à toutes ces anomalies que l’on voudrait nous présenter comme le moderne visage de l’Amour ? Malgré la gravité d’une réflexion qui n’épargne rien ni personne, la plume et le style de François Chalais font de cette « Lettre ouverte aux pornographes » un des ouvrages les plus férocement amusants de l’année.