Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
« Je t'écris, Lucienne, je ne cesse de t'écrire jour et nuit, et c'est te parler. Je te parle plus encore, avec la voix, et soudain un effroi me prend, car enfin notre dialogue est achevé, comme si je ne le savais pas, comme si je ne l'avais pas su tout de suite, dès l'annonce de ta mort… Et je ne cesse de te parler. Et toutes ces paroles, intérieures ou confiées à l'air, comme ces lettres, toutes ces lettres, cette immense lettre, ne sont donc que monologue… Bien sûr, que serait-ce donc, sinon cela ? Et je le sais à l'évidence. Et si l'on connaissait mon monologue et pseudo-dialogue, et que je "parle tout seul", on trouverait cela ridicule. Ah, si je pouvais croire que tu ne le juges pas ainsi, que m'importeraient leurs sourires ? Alors, comment appeler cette sorte de dialogue imaginaire qu'est notre nouvelle "correspondance" sans correspondante ? » Henri Pollès