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« Je suis monté dans la rame à Châtelet, et je n’en suis pas ressorti. À Montparnasse, je n’ai pas pris ma correspondance pour la rue du Bac. J’ai continué. La rame a continué ma course jusqu’au hangar souterrain où l’on gare les wagons. Là même où tout a commencé, la maladie. Parce que je n’étais descendu à aucune station. Je l’ai vu dans leur regard, celui des agents de la RATP, que quelque chose de grave s’était passé. Je n’étais pas SDF et je ne voulais pas rentrer chez moi. Ce détail aussi, je portais un manteau long en cachemire et des Church’s. Dans la poche arrière de mon pantalon, un portefeuille en règle avec carte bleue, dans celle avant droit, les clefs d’un appartement rue Vivienne et des papiers froissés qu’un certain civisme me dictait — jusque-là — de ne pas jeter sur la voie publique. J’ai donc dans un premier temps bénéficié d’un traitement de faveur de la part des agents, puisque j’avais dû faire un malaise. Je leur ai, moi, expliqué que c’était à cause des plantes, de la présence envahissante des plantes chez moi. Et leur regard s’est fermé net. »