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Au XIXe siècle, le « vandalisme révolutionnaire » n’est plus de saison. Et pourtant, des gestes oubliés, d’une ampleur insoupçonnée, semblent se rejouer : bustes de rois brisés, emblèmes martelés, drapeaux brûlés. Dans des moments d’anomie, de révolution ou de restauration, le domaine de ce qu’il est tolérable de voir est redéfini. L’oeil blessé dicte sa loi. Que détruisent alors les iconoclastes ? Que visent-ils à travers l’image brisée ? Quelle puissance et quelle vitalité lui attribuent-ils ? Quels effets croient-ils produire sur le monde social et sur les rapports de pouvoir ? Nourri d’archives vivantes et sensibles, l’ouvrage analyse ces gestes en situation, comme autant d’opérations politiques dont il restitue les sens perdus.
Emmanuel Fureix est maître de conférences habilité à diriger des recherches à l’Université Paris-Est Créteil, ancien membre de l’Institut universitaire de France. Il a notamment publié La France des larmes. Deuils politiques à l’âge romantique (Prix Chateaubriand 2009), Le siècle des possibles. 1814-1914 (2014), et La modernité désenchantée. Relire l’histoire du XIXe siècle français (2015, avec François Jarrige).