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J’étais seul sur le quai. Devant moi un train magnifique qui s’appelait « Le Progrès ». Des wagons, les voyageurs faisaient de grands gestes pour m’inviter à monter. L’un d’eux baissa la glace et me dit : « Venez donc, partons tous ensemble, il faut vivre avec son temps ! » Alors je suis monté, je me suis assis et le train est parti. La campagne que nous traversions était belle. Puis elle a commencé à se couvrir de constructions étranges dont je ne comprenais pas la signification. Cela a fini par me donner le tournis. J’ai demandé à mes voisins où allait ce train. Ils ne savaient pas. On disait qu’il allait peut-être vers un pays merveilleux. Alors, j’ai fait tous les wagons pour trouver quelqu’un sachant exactement où nous allions. Personne ne savait rien de précis, mais comme tout le monde y allait, pourquoi se tracasser ? Voulant en savoir plus, j’ai cherché le conducteur. Il n’y en avait pas ! Alors j’ai dit aux autres : ne croyez-vous pas que nous devrions nous arrêter. Le train va trop vite et nous ne savons pas où nous allons. Soudain silencieux les gens m’ont regardé d’un drôle d’air, comme si quelque chose n’allait pas très bien dans ma tête. Enfin l’un d’eux m’a répondu : « Mais monsieur, vous savez, on n’arrête pas « Le Progrès » ». Maxime Laguerre.