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El despliegue de recursos de Sergio García Zamora para negarse a la servidumbre del espejo es amplio y muchas veces sorpresivo. Es la suya una rebelión de la imagen que tiene una tradición rupturista en otros poetas de su país como Lezama, como Jamís, como Nogueras, Baquero, Piñera o Alcides. Su poética me resulta centrada en aquello que pedía Jean Cocteau para negar la imagen seriada, para huir de algo que se ha vuelto reiterado y cansino en mucha de la poesía actual: los espejos harían bien en reflexionar antes de devolver las imágenes. Con esto quiero sobre todo señalar la particular voz de este poeta, la sabiduría con la que mezcla y macera en su marmita los más variados recursos de una poética que crea atmósferas, que cuenta historias y dibuja o pinta con palabras cuadros que distan muchos de ser de costumbres.Juan Manuel Roca