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“Loulou Métro” aurait pu être une histoire simple et émouvante : un homme, Caramentan, attend avec amour l’enfant que sa compagne va lui donner. Mais le bébé meurt à sa naissance. L’homme refuse cette mort, s’invente un autre enfant, Laure, à laquelle il donne les traits d’une poupée. On le laisse faire, on feint de croire à son mirage. L’amour total de Caramentan pour son enfant de chiffons, fait des ravages. Il ne supporte pas le doute, se persuade que l’Apocalypse est parmi nous, décide de fuir, sous terre, notre monde chaotique et désespéré. Il se réfugie — avec Laure — dans le métro, élit domicile dans une pièce désaffectée qui servait autrefois de réduit à balais. Pour gagner sa vie, Caramentan raconte des histoires dans les couloirs du métro, non loin des musiciens et des marchands de fleurs. Le conteur du métro devient célèbre. On accourt des quatre coins de Paris, pour entendre cet homme bizarre qui mêle la chimère à la raison, ramène de fantastiques images de ses voyages dans l’inconnu. Et, pour finir, une lueur... Mais pourquoi Laure ne serait-elle pas un vrai enfant de chair et de baisers ? Pourquoi la foi ne créerait-elle pas la vie ? Pourquoi Caramentan n’aurait-il pas raison - seul contre tous ? Confronté à ces points d’interrogation, l’auteur s’engagea dans les voies du roman de la totalité, découvrant la face obscure de la vie, violant la loi du raisonnable, proclamant — à son tour — que la vérité n’est pas seulement contradictoire mais simultanée. Il s’éclaira d’un phare : le verbe qu’il voulut hors des bornes, doté d’une signification multiple.