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En 1905, l’ensemble des lycées de jeunes filles en France ne compte que 14.777 élèves. Et parmi elles une petite Jeanne, qui deviendra une grande germaniste, et nous raconte ici trois années vécues de 13 à 16 ans, à l’internat de Dijon. Au fil des jours, nous découvrons la vie quotidienne d’un lycée de province au début du siècle La création de l’enseignement secondaire féminine en 1880, avait fait scandale. Et pourtant, qu’elles nous paraissent sages, ces jeunes personnes dont la récompense suprême est d’entendre chaque dimanche Mme la Directrice, si élégante dans son corsage de soie puce, leur faire la lecture des « Annales politiques et littéraires » ! Que leur enseigne-t-on ? Ni le latin, trop difficile pour des filles, ni la philosophie (« on en ferait des ergoteuses, des discuteuses, des femmes ingouvernables »). Mais avant tout ce qui est propre à former le jugement et le sens moral, si nécessaires à celles qui seront les mères des futurs citoyens et des futurs soldats... L’auteur retrace enfin le combat mené après le lycée pour obtenir, tout comme les garçons, le « droit au baccalauréat » et enfin – en 1948 c’était hier ! – l’égalité de traitement et de service avec ses collègues masculins.