«C'était la première fois sans doute que l'on faisait un
personnage romanesque de l'homme qui vit aux dépens des
femmes. Le roman était animé ; assez grossier, il contenait
des termes empruntés à l'argot spécial des brelans et des
tavernes. Le libertinage affectait à chaque page des allures
conquérantes. Don Juan levait des impôts dans le pays de
Tendre et blasphémait avec une liberté réaliste encore nouvelle
dans la littérature.»
Guillaume Apollinaire