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Los cuentos de juventud de Djuna Barnes dibujan un mapa hacia la madurez de esta escritora que, con el paso del tiempo, ha sido reconocida como miembro de pleno derecho de la «generación perdida» y admirada por autores como James Joyce, Dylan Thomas o Carson McCullers. Estos relatos, publicados en las principales revistas y periódicos neoyorquinos de principios del siglo xx, permiten conocer la bohemia, el origen de la obra de Barnes y entender la posición que decidió adoptar a lo largo de su vida, huyendo de las luces de neón y de las fiestas y salones literarios. Una joven que, sin apenas experiencia, «reinventó» de algún modo el género y cuestionó el periodismo de la época, masculino y sensacionalista.No puede interpretarse su gran obra, El bosque de la noche, sin entender cómo Barnes, desde un aparente costumbrismo, se adentró en lo simbólico; tampoco se puede explicar cómo, después de vivir un exilio intelectual dorado en París, regresó a Greenwich Village, el territorio literario de este libro y el barrio de sus primeras debilidades, vitales y creativas, donde pasó sus últimos cuarenta años encerrada en un diminuto apartamento.