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Née le 11 août 1767, au château de la Chevalerie, dans les Deux-Sèvres. Henriette Aymer appartenait à une famille établie au Poitou depuis le XIIIe siècle. Sa jeunesse brillante fut troublée par la tornade de 1793. Prisonnière pendant la Terreur, elle montra la force de son âme, sa lucidité, et cette bonté qui devait lui valoir, plus tard, le nom de « Bonne Mère ». Libérée, elle répondit d’un élan à un appel secret : « Mon Dieu, me voilà ». Ce fut un don total. Comme les congrégations religieuses étaient dispersées dans l’exil, Henriette Aymer, à travers toutes les difficultés, dans les circonstances les plus tragiques, créa un ordre, à la fois actif et contemplatif, voué à l’adoration, à la réparation, à l’apostolat, à l’éducation et à l’instruction des enfants, surtout des enfants pauvres. Elle assurait à ses élèves l’épanouissement physique, intellectuel, moral, et l’acquisition de la sagesse des sagesses, le sens de la vie humaine qui débouche sur l’éternité. Fondée au début du XIXe siècle, pour répondre aux « besoins des temps malheureux », la Congrégation des Sacrés-Cœurs et de l’Adoration Perpétuelle correspond parfaitement aux exigences des temps modernes. Son essor et son développement à travers le monde, prouvent que la flamme allumée par la Bonne Mère est destinée à éclairer et à rassembler un nombre croissant d’âmes éprises d’absolu.