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Dans cet essai, Benoit Doyon-Gosselin pose un regard sur sa ville d’adoption, Moncton, « qui s’est inventée en français ». Il identifie dans son ouvrage trois Moncton interdépendants : le territoire physique, la ville telle qu’imaginée par les artistes et celle vécue par l’auteur au quotidien.
Moncton mentor : géocritique d’une ville s’intéresse ainsi, selon une triple perspective, à la place des francophones dans cette ville bilingue devenue capitale culturelle de l’Acadie. Grâce à la géocritique, une théorie de la spatialité, Doyon-Gosselin étudie l’interaction entre les espaces et la communauté francophone et se penche sur l’impact des artistes sur le quotidien des Monctoniens.
Cet essai constitue en quelque sorte le prolongement de la promenade littéraire organisée au cours des dernières années par l’auteur dans les rues de Moncton. Y sont convoquées les œuvres de maints auteurs acadiens (Gérald Leblanc, Serge Patrice Thibodeau, France Daigle, notamment), mais également celles d’auteurs ayant porté un regard sur cette ville, comme Jean-Paul Daoust.