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« Je vis seule. Tant que je peux. Avant de rencontrer Grand Terrible j’ai eu la compagnie des plantes, des arbres et des petites bêtes. On dit la nature quand on est très poli. Moi pas. Je n’ai pas une voix tournée pour la révérence. Je crapahute dans le vert, c’est tout. Ça n’a rien de charmant, c’est tragique. J’ai fait mon sort des causes désespérées. » Ainsi parle Never, dans les premières lignes de l’écriture au vitriol de Maxime Pascal. Dès lors, cette voix d’orage ne nous lâchera plus, nous jetant en pleine figure ses envies d’en découdre avec les « glauques » et les « blêmes ». Flanquée de Justin le Gueux, jeune garçon de la cité voisine au verbe décapant, elle nous entraîne au fin fond d’un univers de sourde violence, où les bien-pensants de tout poil — prédateurs contemporains de la planète comme gardiens du langage policé — en prennent allégrement pour leur grade. D.L.