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Brauchen wir mehr Wirtschaftsmoral? Was leistet sie - und kann sie auch etwas 'anrichten'? Diesen Fragen stellt sich Kurt Holzer. Die Ãkonomik geht davon aus, dass sich der 'Homo oeconomicus' vom Eigeninteresse leiten lasse. Moralisches Verhalten aber ist mit eigeninteressiertem nicht immer kompatibel und wird von der Theorie in die 'Präferenzen' des Menschen oder in seine 'Handlungsrestriktionen' abgeschoben. Der Autor wählt mutig einen Denkansatz, der sich gegen einige Grundsätze dieses 'ökonomischen Verhaltensmodells' stellt und ersetzt es durch sein neues 'Breitbandmodell', welches das differenzierte Verhaltensspektrum des Menschen spiegelt. Er geht damit konform mit Erkenntnissen der Neurobiologie und anderer Humanwissenschaften. Gelebte (Un)Moral sieht er als wirtschaftsfremde Ressource, die 'blind' in Wirtschaftskreisläufe interveniert, dort etwas leisten - aber auch zerstören kann. Der Autor entwirft eine 'Leistungstheorie' und kommt zum Ergebnis, dass unseren Wirtschaftsordnungen ein konstitutives 'Fairnessgebot' fehle, welches gleichwertig mit dem Wettbewerbsprinzip verankert werden sollte: sanktionierbar und verknüpft mit einem Instanzenzug und einer 'Fairnessvermutung', analog der Unschuldsvermutung.