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La presse présente Damien Careme comme le maire des migrants. À Grande-Synthe, dans la périphérie de Dunkerque, il a ouvert en mars 2016, et sans attendre l’aval de l’État, un camp pour ceux qui dormaient dans la boue aux abords de sa ville. Un combat à l’image de celui qu’il mène dans cette municipalité de 22 000 habitants dont il est maire depuis 2001. La dignité qu’il a rendue aux migrants, il tente de la rendre à tous ceux qui vivent à Grande-Synthe où 30 % des personnes vivent sous le seuil de pauvreté et 24 % sont au chômage, et il a fait de ce devoir moral d’améliorer le quotidien des habitants, le fil conducteur de son action politique. Ainsi, la ville est éclairée avec 100 % d’électricité renouvelable et chauffée avec 75 % de gaz renouvelable. On y roule à l’hydrogène. Une mutuelle a été mise en place pour tous, les cantines sont bios ainsi que les vergers de la ville, en accès libre. Grande-Synthe est devenue un immense laboratoire où l’on conjugue la ville au futur et elle enchaîne les prix : « Capitale de la biodiversité », « Ville zéro phyto, 100 % bio ». Damien Careme y invente l’écologie sociale et réinvente le pouvoir de faire bouger les lignes. « Je crois, comme Gandhi, que montrer l’exemple n’est pas seulement la meilleure façon de convaincre ; c’est la seule. »