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Le tournant du siècle à peine franchi, de grands compositeurs d'opéras comme Richard Strauss ou Pietro Mascagni s'intéressaient à cette nouvelle forme d'expression appelée cinématographe. Les premiers créateurs sur pellicule, eux, puisaient dans le corpus des opéras franco-italiens pour élaborer des scénarios susceptibles d'attirer un large public. Certains mélomanes passionnés et critiques professionnels rechignaient à cautionner ce mariage hybride, usant de nombreux arguments. Le plus radical revendiquait un droit de « propriété privée » sur l'opéra, ses parures et ses dorures. Le cinéma, c'était bon pour le peuple, pas pour les connaisseurs patentés Mais peu à peu, il se libérait des foires et du grand-guignol pour prétendre à un véritable statut artistique, un septième art qui allait rapidement phagocyter les six précédents Au moment où les expressions musicales sont transmutées par les technologies refondatrices de l'image et du son, où se dirige aujourd'hui cet art hérité des sociétés aristo-bourgeoises des siècles passés ? vers une mort annoncée, ou vers une renaissance paradoxale ?