« la langue s'attardait en récits diurnes loin de ces cités aux formes de rêves peuplées de bibliothèques premières filles d'Alexandrie
où les manuscrits levaient en secret l'origine de toute chose »
Pierre Stans nous livre son expérience poétique qui a commencé à la fin des années 70.
Opus niger rassemble des poèmes qui tracent un périple révélant une langue épurée pour être au plus près d'un « je-ne-sais-quoi » de troublant et d'obstiné.