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« L’insomnie a son panthéon, ses héros ; elle a surtout sa bibliographie. Elle est un genre littéraire : elle se donne la forme du fragment, du méandre, de la phrase coupée ou du ressassement épuisé ; elle se donne, autrement, la forme du délire. S’y égrènent des remèdes, des échecs, des colères, des fanfaronnades ; elle se fait journal pour se trouver une raison d’être. Si l’on écrit tant sur elle c’est aussi qu’elle demeure, avec les rêves, le principal point d’entrée vers le sommeil. » La nuit est vouée au sommeil ; mais personne, jamais, n’a su dormir. La preuve de cet universel, du petit malheur auquel il nous voue indépendamment de nos conditions, est cherchée ici dans des grottes coupées du temps, entre les lignes de la notice d’un somnifère, en remontant les sources crues des contes de fées, dans la science-fiction et ce qu’elle fait aux rêves, au verso des esquisses de la Renaissance, à l’intérieur de boîtes où la lumière blanche divertit la nuit noire, au cœur de l’urbanité noctambule.