Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Pauvres Docteurs ! — Dans ce roman d’observation vécue, le docteur Lucien Nass expose le tableau réel de la crise médicale. Il s’est attaché à détruire ce préjugé courant que la profession médicale est, pour le docteur, une source de profits, de fortune et d’honneurs. Le romancier, dans un style souple et clair, montre le nombre, toujours croissant, de jeunes gens poussés vers cette voie par des parents aveugles et mal avertis. Le public, d’autre part, n’a plus pour le docteur la même considération qu’autrefois ; il veut bien suivre ses conseils, mais met tout en œuvre pour lui marchander ses maigres honoraires. Les Sociétés de bienfaisance, de secours mutuels, imposent la médecine au rabais. Les cliniques et hôpitaux regorgent de malades aisés, enchantés d’y trouver des soins gratuits. Le médecin est devenu un prolétaire en redingote, plus misérable parfois que le prolétaire manuel. Il y a plus : les magistrats ont résolu de porter aux médecins le coup fatal. Il n’est pas de mois où un médecin ne soit condamné soit au civil, soit en correctionnelle ; c’est une persécution en règle : Pauvres docteurs ! Le docteur Nass, qui a apporté à cette étude conscienceuse les fruits de son expérience personnelle, plaide donc la cause de ses confrères. C’est une tentative généreuse et qui aura un profond écho dans le corps médical et dans le grand public.