Ce texte, d'une très grande rareté en ce début du XXe siècle, reste un
témoignage étonnant des théories scientifiques du siècle précédent appliquées
à une fiction pornographique. Il garde, pour les amateurs, sa charge
érotique première.
Ce manifeste en faveur de la pédérastie passive se révéle aussi un beau
guide dans le Paris «gay» de la Belle-Époque. C'est enfin le complément
indispensable pour les bibliophiles éclairés qui possèdent déjà Pédérastie
active, de P.-D. Rast, publié également par nos soins.
Patrick Cardon