Pour une poignée de diamants
« Bonjour Alice, c'est Denise. Comme tous les lundis je suis chez toi à Giberville. Je ne sais pas où tu es mais je suis extrêmement inquiète. Cette absence sans explications ne te ressemble pas. Le père Jules a vu des trucs étranges cette nuit et je me demande si je ne dois pas appeler la police. [...] Mercredi matin, sans un signe de toi, j'irai au commissariat. Je t'embrasse. »
Au fond de ta forêt de Grimbosq, dans le camping-car, Kurt Steiner regarda le téléphone en se demandant comment un si petit message pouvait contenir autant d'emmerdements...