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La tyrannie de la beauté n’épargne pas le monde politique. La beauté est un capital, qui exige mise en scène de soi et stylisation de son image. La culture de la célébrité favorise la consécration des apparences et c'est pourquoi le physique est devenu l’impensé du politique. Ce capital esthétique en vient même à éclipser les ressources politiques traditionnelles, fondées sur l’ancrage dans un parti et la victoire aux élections. L’esthétique structure désormais, de façon inavouée, le champ politique. Beauté et laideur infléchissent la distribution des postes, comme le révèlent les déclarations d'un président Sarkozy, plébiscitant Rama Yade et Rachida Dati et refusant un portefeuille ministériel à Gérard Larcher au motif qu’il était « trop laid ». À travers cette question inédite de la beauté et de la laideur en politique, l'auteur mène une réflexion sur la notion de charisme et celle de capital esthétique, leurs mutations à travers l’histoire, en fonction des régimes politiques, leur effet de « peopolisation » des gouvernants et leur importance pour les électeurs.