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C’était en 1956. La guerre d’Algérie (on ne disait pas officiellement la « guerre », ce n’était que révolte à mater...) exigeait de plus en plus d’effectifs. Après les troupes de métier, les classes de réserve furent « rappelées ». Parmi elles, se trouvaient des hommes que la vie avait déjà mûris, qui s’étaient forgé des convictions, qui avaient noué des liens. Quelques-uns se révoltèrent, arrêtèrent des trains, tentèrent le refus d’obéissance. « Le déserteur », de Boris Vian, devint chanson interdite. Certains des « rappelés » réfractaires furent versés dans des troupes spéciales, au Maroc. Roland Perrot était du nombre. Il raconte l’histoire du « commando noir », un bagne militaire dans le Rif lui aussi soulevé, digne du « Biribi » décrit en 1890 par Georges Darien. Des hommes avaient vécu cela. Beaucoup moururent. Roland Perrot voulut témoigner : « Je veux que mes amis ne soient pas morts pour rien. Puisse ce méchant livre leur rendre, un instant, les couleurs de la vie, puisse-t-il, surtout, dégoûter à jamais ses lecteurs de la guerre, de toutes les guerres. »