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RELATOS DEL FUEGO SANGUINARIO Y UN CANDOR sitúa su acción en Hispanoamérica, una acción que gira en torno a Eduvigis Lindavista, una niña fallecida a los siete años «en olor de santidad».La inocencia y la violencia se mezclan en una serie de personajes muy difíciles de olvidar. De este modo somos testigos del nacimiento de la niña santa en el primer relato, de su presumible estado de postración («Eduvigis Lindavista»); y del amor tremendo de la Ladina, que escarba una fosa por comprobar si en ella está enterrado su novio («El día aquel del cementerio»); y del bandolero Zacarías, en su última correría («El indiano Zacarías»); y de la narración del señor Matrero, junto a lo que presencia en una loma («En un rincón oscuro»); y del penoso primer amor de Ranchito, con el terrible paso del tiempo de su abuela Belisa («Vuelos de deseo y grietas»); y del niño Lolo, que aspira pegamento para terminar relacionándose con unos sicarios («Primerizo en brasas»); y de Magdalena Huertas, la mujer que se presenta a la presidencia de su país sin entender su inmenso poder de convocatoria («Memoria de la ciudad sin paz»); y del triste final del conquistador Gonzalo de Pineda, con su brutal paralelismo en el mulato Oswaldo, de La Habana («Noche de tropiezos y altivez»); y de la tremenda congoja de la señora Justina, a la que se le muere su bebé en los brazos para recoger un desenlace impensable («Justinita la Idolatrada»); y de los encuentros portentosos de Valeria, que ha de cumplir como madraza a los diez años de edad («Una niña perdida en el mar»). Verdaderamente, unos relatos muy difíciles de olvidar.