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"Ruisseau des solitudes est le spacieux miroir de mon existence depuis Le Point où j'en suis, celui où j'en étais quatre ans plus tôt. Jacinthes est un miroir plus restreint, plus étroit de courbure, plus ardent et plus aveuglant, qui me capta au moment du solstice d'hiver de 1965 et qui fut retiré (par qui ou par quoi?) deux mois plus tard. Quant à Chapeaugaga, c'est un texte burlesque, composé à l'intention de mon ami le peintre Baj, qui aime les beaux bicornes et les belles broderies. En outre, je suis un peu bègue, comme il est connu, et les racines grecques agacent mes dents. Il y a des mots qui sortent en mauvais état de ma bouche." André Pieyre de Mandiargues