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Par un soir glacial de février 1885 arrive à Montréal un voyageur gravement malade, porteur du virus qui déclenchera la pire épidémie que le Québec ait jamais connue : celle de la variole. En quelques mois, la maladie, foudroyante, se propage. Un climat d’exaltation règne alors sur Montréal. Les journaux francophones dénoncent le racisme de certains confrères anglophones, qui attribuent l’épidémie à la malpropreté des Canadiens français. Les injures pleuvent de part et d’autre. L’isolation et le placardage des maisons ne suffisent plus à enrayer le fléau. Le Bureau de santé est à bout de souffle. Les provinces voisines et les États-Unis s’affolent et décrètent un embargo, dont les commerces subissent les conséquences. Des pressions du lobby anglophone des industriels et des commerçants réussissent à faire imposer la vaccination obligatoire. Le peuple canadien-français refuse, les communautés anglophone et francophone se heurtent, la violence éclate. Dans ce climat de tension, on assiste au Québec à des transformations sociales sans précédent. La population émigre massivement vers la campagne, l’Église s’immisce davantage dans la vie communautaire et les femmes sont appelées à modifier leur façon de vivre. Certaines, encouragées par des hommes à l’esprit ouvert, vont jusqu’à revendiquer l’égalité. Sarah Johnson, elle, rêve de sauver des vies en devenant médecin. Malgré l’opposition de sa propre mère et les mœurs de son époque, malgré la redoutable variole et la haine farouche d’un médecin fort influent, à la fois épris d’elle et prêt à tout pour assouvir une vengeance, Sarah Johnson trouvera-t-elle le bonheur aux côtés de son grand amour ? Ou sombrera-t-elle dans le désespoir de ses rêves impossibles ?