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Le terme « schifta » désigne en Érythrée, en Éthiopie, en Somalie et dans d’autres pays d’Afrique un bandit, un hors-la loi. Bruno Commandant, cuistot du pétrolier le Baraka, appartenant au Libéria mais battant pavillon des Bahamas se retrouve coincé au port de Mogadiscio suite à une avarie électrique dont personne ne veut payer la réparation. L’équipage se trouve contraint de quitter le navire sans solde. Bruno passe la soirée à quai avec Medhanie, rencontré sur le port, ancien combattant érythréen passé par les quartiers nord de Marseille. Ils rejoignent un campement de dockers et font la connaissance d’Abdi, un jeune berger qui peine à s’adapter à la violence de la capitale. Leur groupe est attaqué par des voyous. Les trois hommes parviennent à s’échapper et trouvent refuge chez l’oncle d’Abdi en affaires avec le gouvernement corrompu du pays. Sans perspective et sans argent, les trois hommes envisagent d’abord de quitter le pays jusqu’à ce qu’Abdi ne leur révèle l’existence d’un trésor planqué dans une ferme abandonnée avec pour seuls gardiens une veuve et son fils. L’or appartient aux moudjahidines dont le chef vient d’être abattu par un drone. D’après Abdi, personne ne viendra plus le chercher.
Ces compagnons de fortune nous embarquent dans une chasse au trésor rocambolesque, mais aussi dans leurs révolutions intimes, chacun tentant désespérément d’échapper à son destin. Un éloge de la fuite, de l’amitié, un hommage aux échoués de la mondialisation portés par l’écriture habitée de Léonard Vincent.