Le spécialiste m'avait dit qu'après une telle opération, j'avais besoin d'un changement de vie radical.
Quand je suis rentré à la villa pour l'annoncer à Anne, j'espérais un mot ou un geste, mais en vain. Je l'ai alors menacée de partir pour de bon.
Et, finalement, pour la première fois depuis des mois, Anne m'a regardé vraiment. Elle m'a répondu que, oui, ça l'arrangeait que je parte.