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La mort d’Émilien Despré plonge le célèbre criminologue, Martin Dulac dans les affres de la douleur et du doute. Douleur d’avoir perdu un ami cher, doute quant aux circonstances du décès. D’autant que le défunt a laissé une lettre dans laquelle il prétend avoir été assassiné. Mais lequel des invités d’Émilien Despré pouvait souhaiter sa mort ? Christophe Bérard, séducteur impénitent, le couple désuni formé par Marie et Jean-Luc Chetaille, le taciturne Bruno Quinet ou la discrète Joan Godoy ? N’est-il pas étrange qu’ils se retrouvent tous là après une rupture de dix-huit années ? Pourquoi sont-ils venus ? Par affection, certainement pas. Alors par curiosité, par cupidité ou par peur ? Ni empreintes, ni cendres de cigarettes tombées opportunément, ni même quelque malheureux objet oublié par un criminel peu consciencieux. Rien de tout ce qui aide habituellement le détective dans sa quête de vérité. Les indices sont ici d’une tout autre nature : des phrases énigmatiques laissées comme autant de pistes dans la missive du défunt « Ma mort me rendra immortel… Attachez-vous à la forme… L’assassin est dans la Papesse… » Délires paranoïaques ou messages kabbalistiques ? La solution pourrait bien être dans ces mots, tout entière contenue dans la lettre d’Émilien. À condition de savoir la déchiffrer. Aidé de son comparse, le talentueux et exubérant Achille, Martin, au terme d’une originale et minutieuse enquête, parviendra à dénouer les fils de l’intrigue, en levant le voile de la Papesse.