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En 1933, 230 millions de F – soit 1 milliard de nos francs actuels – sont tirés sur le Crédit municipal de Bayonne en échange de bijoux volés ou faux. L’auteur de cette escroquerie du siècle : un certain Alexandre Stavisky, petit Juif russe émigré d’Ukraine, devenu en quelques années la coqueluche du tout-Paris. Stavisky, aventurier-dandy de la finance, a su asseoir sa fortune et sa respectabilité sur la corruption de toute la classe politique de son temps. Stavisky, « l’homme aux 32 non-lieux », « l’Arsène Lupin de la IIIème République », distribuait des enveloppes aux ministres, aux députés, aux avocats, aux policiers, aux journalistes. Au moment d’être inculpé, il est « suicidé » parce qu’il en savait trop et qu’il gênait trop de gens. « L'affaire Stavisky » eut plusieurs conséquences : suicide d’un conseiller à la Cour d’appel ; chute de deux gouvernements ; émeutes fascistes de février 1934, qui ont failli sonner le glas de la République.