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Le trash est une esthétique encore très peu étudiée en littérature : encore trop mal aimée et mal comprise, elle serait de mauvais goût et indigne d’analyse. L’étude du trash s’inscrit pourtant dans le champ des waste studies, appelé à grandir en importance à l’ère de l’anthropocène, et suscite une réflexion sur ce qui est hors-norme, sur l’obscène, sur l’attribution de la valeur et la dévaluation (qu’elle concerne les choses, les individus ou même les critères esthétiques); elle sonde la division arbitraire de ce qui peut être vu, entendu et même senti dans l’espace public.
Cette première étude fouillée du trash dans les littératures francophones du Canada propose une lecture comparée d’œuvres puisées dans les corpus autochtone (An Antane Kapesh et Marie-Andrée Gill), franco-ontarien (Patrice Desbiens et José Claer), québécois (Jacques Renaud, Victor-Lévy Beaulieu et Josée Yvon), acadien (Guy Arsenault et Martin Pître) et franco-manitobain (Charles Leblanc et Jean Chicoine).
Précurseur et multidisciplinaire, et inspiré des travaux pionniers de Kenneth Harrow et de Susan Signe Morrison, cet ouvrage s’adresse à toute personne qui désire approfondir sa compréhension de la marginalité – sociale, esthétique – et son inscription dans l’imaginaire littéraire au pays.