Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Lorsque Georges Damen rendit l’âme, le 15 novembre 1984, il y eut, dans la bonne ville de Nancy, grande discussion sur le point de savoir si c’était à Dieu ou au Diable. Aujourd’hui, encore, lorsqu’on prononce son nom entre Thiers et Stanislas, les gens, qui ont connu l’époque de la guerre, ne peuvent réprimer un petit frisson et répondent avec un sourire contraint : « Damen ? Ah ! oui, celui qui faisait des saucisses avec les soldats allemands qu’il avait tués et qui les donnait ensuite à manger à leurs officiers ! ». On lira, dans ce livre, ce qu’il convient de retenir de cette macabre légende et de quelques autres. Il fourmille, sans doute, par ailleurs, d’outrances, d’invraisemblances et même d’erreurs flagrantes que ne manqueront pas de relever les érudits historiens. Aussi faut-il que l’on s’entende bien et que chacun sache, avant de l’ouvrir, qu’il ne s’agit pas d’un manuel à l’usage des enfants des écoles : la violence de certaines scènes et la crudité du langage seraient déjà des arguments suffisants pour en déconseiller la lecture à un public non averti, dont il ne pourrait que heurter la sensibilité. Mais, tel qu’il est, partiel et partial, délirant et passionné, c’est un témoignage irremplaçable.