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Ob es gute oder schlechte Literatur gibt, ist womöglich eine irrelevante Frage, kommt man doch beim Lesen kaum umhin, selbst ohne feste Basis Urteile zu fällen. Vordringlicher scheint es, Klarheit darüber zu erlangen wie das Gute geschrieben sein müsste, um nicht bloß im Abgleich mit seinem Gegenteil zu existieren. Oder handelt es sich hierbei weniger um eine ästhetische als um eine moralische Frage, um etwas, das für die Kunst keinerlei Gewicht besitzt? Denn Kunst - und damit das Schreiben -, so die herrschende Meinung, bestellt doch ein Feld, wo kein Verbot Gesetzesstatus hat. Sowohl in fremden wie auch in ihren eigenen Werken gehen Anne Weber und Thomas Stangl während ihrer sechsjährigen Korrespondenz diesen und ähnlichen Fragen nach. Dabei vermessen sie Graubereiche und zeigen, dass es der Literatur nicht um Konventionen, um den Zwang, gut zu sein, gehen sollte, sondern allein um die Haltung zum Gegenstand - um die Wirklichkeit, die Zeit, um die Toten und den Umgang mit Toten, um Grenzen, um Moral.