Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
« On n’aimera jamais assez les mots. On essaie de les assigner à résidence quand on les enferme dans les dictionnaires. Rien à faire. Ils s’en échappent », écrit Dominique Rolin. Dans ce livre étrange et poétique, l’auteur de Vingt chambres d’hôtel (Gallimard, 1990) nous parle avec le même amour, la même sensualité, la même subtilité des battements de plaisir amoureux chers à Fragonard et des minutes de douleur traversant certains textes de Virginia Woolf. Qu’il s’agisse du cinéaste André Delvaux, des cabrioles de Chaplin, du souffle apocalyptique des frères Van Eyck ou des Sept Sacrements de Roger Van Der Weyden, Dominique Rolin nous convie à un merveilleux voyage sur les terres de la littérature et de la peinture. Observatrice raffinée, elle finit toujours, au travers des pages qu’elle consacre à Céline, à la Belgique, à la gloire, à Godard, aux corps et aux vêtements, par nous parler d’elle, de son être le plus intime et de ses silences, de sa joie d’écrire, du souffle de vie enfin qui passe dans les mots qu’elle choisit pour la décrire. Comme aurait pu le soutenir Jorge Luis Borges, cet « essai dispersé » est à lui seul toute une littérature.