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Au début de l’été 1942, Mme de Semoncel accueille dans son manoir transformé en pension de famille, situé en Bourgogne, juste en dessous de la ligne de démarcation, ses premiers hôtes, venus passer des vacances ou se refaire une santé. Certains se désintéressent d’une guerre qu’on déclare finie, d’autres se refusent à pareille éventualité. La rumeur selon laquelle les Allemands s’apprêteraient à conquérir le sud de la France contraint tout ce petit monde à sortir de sa réserve et à se déterminer, bon gré mal gré, pour ou contre l’occupant. Au quotidien donc, et sans que cela corresponde forcément à des choix politiques, par amour parfois, ou simplement par sympathie, vont se tisser des liens ou s’établir des méfiances instinctives et des inimitiés entre ces gens. Collabos en herbe et futurs résistants s’observent déjà, creusant plus encore la ligne de partage qui va couper, mentalement cette fois, la France en deux. C’est à partir de hasards et de petits riens que chacun finalement choisit son camp et accomplit, sans toujours s’en rendre compte, la part d’histoire qui lui revient.