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Jeanne d’Arc devint prisonnière des Bourguignons le 23 mai 1430, et elle périt le 30 mai de l’année suivante. Sa captivité eut donc sensiblement la même durée que sa vie guerrière, dont le début s’était situé aux préliminaires de la libération d’Orléans, à la fin d’avril 1429. C’est dire la nécessité d’accorder un égal intérêt aux deux faces de la courte vie publique de Jeanne d’Arc. Certes, on a beaucoup étudié son procès, soit les quatorze dernières semaines de son existence, mais on a écrit peu de choses des neuf mois précédents, où Jeanne a connu quinze lieux de détention successifs, ne passant qu’une nuit en dix endroits, et séjournant un temps variable dans cinq autres prisons. Il fallait préciser huit localisations, tout en restituant la chronologie des déplacements, les conditions des transferts, les itinéraires empruntés, bref les détails d’un long périple, sans oublier les intrigues — politiques et sordides — auxquelles ont donné lieu la livraison aux Anglais et la condamnation. Ce fut l’objet des minutieuses recherches de l’auteur, qui s’est également attaché à dire les épreuves physiques et morales imposées à une jeune fille de dix-neuf ans pour la faire fléchir. Dans sa préface, Régine Pernoud loue l’auteur pour avoir parfaitement réussi cette tâche.