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L’île d’Orléans de Jean O’Neil est un regard ironique et amoureux sur une utopie durable. Elle émerge des eaux préhistoriques dans le plus lointain des nuits planétaires et se prend encore pour un paradis terrestre où coulent le lait et le sirop d’érable. Elle émerge de l’histoire quand Jacques Cartier y accoste en 1535et que son équipage si plaît au point qu’il la nomme d’abord «Isle de Bacchus». Elle s’affiche encore comme le berceau de la Nouvelle-France, l’assise du Canada-français, le musée de l’art ancestral et contemporain,le prototype du Québec agricole et maritime, le potager, le verger et le jardin de Québec, l’Éden du bon chic bon genre. Et la pomme y est toujours sur la branche. C’est la même île, accostée, cultivée, racontée, peinte et chantée par tant de gens. Mais les pommes ne goûtent pas toutes la même chose. Tout le monde a écrit sur l’île d’Orléans, sauf Jean O’Neil qui vient de s’y mettre après l’avoir fréquentée pendant bien des lunes, et qui aborde son sujet d’une façon pas très conventionnelle, tout en faisant le tour des municipalités et des saisons, en évoquant moins l’histoire que les histoires, et en côtoyant avec amitié, émotion et humour les étranges et les nés-natifs, tous sorciers, qui habitent et se disputent ce joyau patrimonial.