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« Lorsqu’Émilie avait frappé à la porte de M. pour la première fois, son seul motif consistait à oublier. Oublier tout, par la chair. Se sentir encore plus inhabitée qu’elle ne l’était déjà. Imbibée et engloutie par n’importe qui, dans l’espoir de s’y confondre, comme entravée. Émilie n’appartenait à aucun cercle, ne trouvait sa place nulle part. Quelquefois, de justesse, elle parvenait à l’oublier. Cela pouvait durer des jours et, avec un peu de chance, parfois des semaines. Mais inéluctablement, dans la rue, en allant chez le coiffeur, dans son lit ou ailleurs, les échos revenaient, cinq fois, dix fois. Vingt fois plus puissants. Émilie étouffant dans son propre corps, subissant incessamment la même sujétion : s’extirper de son crâne, peu importe dans quelle mesure. Elle se doutait du type de traitement auquel elle aurait droit si elle acceptait de suivre M. chez lui. Et c’était expressément ce qu’elle était venue chercher. Émilie devait sentir que son esprit, tout son être ne lui appartenaient plus. L’envie viscérale. Émilie avait besoin d’avoir mal. »