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Lachen ist eine individuelle Angelegenheit. Und dennoch gibt es Kunstformen, die besonders auf kollektive Lacheffekte angewiesen sind. Dazu gehört das Kabarett. Eva-Maria Siegel widmet sich der Frage, wie die Kleinkunstformen in Ost und West und vor allem die politische Satire die politische und wirtschaftliche Wiedervereinigung beider deutschen Staaten reflektiert haben – und wie sie sich im Zuge dessen selbst wiedervereinigten. Dabei liegt der Fokus auf jenem geografischen Gebiet, das noch immer die ›neuen Bundesländer‹ genannt wird. Denn der konkrete Prozess, in dessen Verlauf das eine System durch das andere System überformt und ersetzt wurde, scheint aus dem kollektiven Gedächtnis der Nation so gut wie getilgt. Kaum präsent ist er vor allem im Hinblick auf gesellschaftliche Teilbereiche wie Kultur und Wissenschaft, zu denen auch drei Jahrzehnte danach noch Einzelstudien fehlen. Unter dieser Voraussetzung widmet sich Siegel der Frage, worauf sich das deutsch-deutsche Gelächter denn einst gerichtet hat – in jenen turbulenten Zeiten von Privatisierung und Treuhand, die nur scheinbar vergangen sind. Was wurde aus jener Künstler_innenschaft, die seinerzeit die Phase der friedlichen Revolution mit einleitete? Und welche damaligen Anlässe für Lachangebote dürfen heute noch immer als aktuell gelten?