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Der Gedichtband Wie Gras von Michael Donhauser ist ein Ereignis des Leisen in seiner Vehemenz und seinem Gewicht. Diese Legenden sind Gesten zwischen Festhalten und Loslassen, in denen Erinnertes und Imaginiertes in ein offenes Verhältnis treten. Das Intime wird als das Intensive gefeiert, an dessen Orten - ein Zimmer, ein Weg, ein Garten - sich im Zeichen der Vergänglichkeit eine Versöhnung mit dem Endlichen andeutet.Der unverwechselbare Klang dieser 81 Prosagedichte ist der Träger ihrer sprachlichen Bewegung, in der die Wiederkehr in Variationen als eine Weise des freiwilligen Verzichts verstehbar wird. So werden sie zu Erzählungen am Rande dessen, was sich erzählen lässt. Das Fragliche wird darin zur Form eines Inkrafttretens jenseits jeder Behauptung, die Abstinenz aller Gewissheit zur Form einer Vergewisserung der Nähe.