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« Quand j’ai rencontré Max Gallo en 1993, et quand il a chanté Bella ciao pour me séduire, je ne pensais qu’à l’amour, à la vie, et à la politique aussi – puisqu’elle nous avait réunis… L’âge ? La maladie ? Je n’y songeais guère. Je croyais même que ni l’un, ni l’autre, n’atteindrait jamais le colosse, l’historien prolixe, l’Immortel, que j’aimais… Je me trompais. Alors, quand la maladie s’est imposée, nous avons dû faire face à “Miss P”, comme l’appelait François Nourissier. Enfin, nous avons essayé, car le désespoir, chaque jour, était en embuscade. Puis je me suis mise à écrire, à raconter les choses comme elles sont. Avec mon désarroi. Avec ma sincérité… » M. G.