« Ça commence dans les cafés. Se mettre au travail dans un café pour se dire qu'on n'a plus envie. Ou alors, pas comme ça. Car, dans le milieu de la danse, il y a un « comme ça ». Un entraînement régulier du danseur, ça s'appelle. Et ce jour-là, au café, on n'en veut plus. »