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S’il n’a jamais été très reluisant vu de l’intérieur, le milieu de l’art — et plus particulièrement celui de l’art contemporain — se gangrène rapidement et sûrement. Contaminant l’entourage. Pervertissant tout ce qu’il touche. À tel point que la maladie se voit, se sent, qu’elle effraie qu’elle inquiète, qu’elle dégoûte et dissuade en les éloignant, des amateurs potentiels. Amputé de quelques membres douteux, débarrassé de parasites, délivré de la mainmise d’un ministère de la pesanteur, comme aurait pu l’appeler Marcel Duchamp et assaini par une ou deux bonnes lois, il retrouverait santé et sérénité. Les excès l’étouffent, le laxisme le pourri l’hypocrisie le ronge. Sectarisme, snobisme, conformisme une trilogie qui tue. Responsabilités partagées entre les différents « acteurs » du milieu, qui, pareil à la mafia, a ses lois, ses « parrains » et ses victimes. Artistes, marchands, collectionneurs, journalistes, experts, conservateurs, spéculateurs, élus locaux et ministre en tête, se répartissent les rôles d’un scénario trouble et truffé de rebondissements. Voici, en cent pages, un coup de gueule qui remet les pendules à l’heure.