Comme dans l'Apocalypse, Jésus promet à Maria Valtorta « Je viendrai parce que je suis fidèle et vrai ».
Ce sera alors la fin du règne de l'Antichrist, et « l'avant-dernier jour » où « la terre exhalera son amour pour son Créateur », avant son assomption dans l'éternité.
Nous sommes donc loin des idées reçues où le retour du Christ se limiterait au jugement et à la destruction du monde.
Et nous sommes, à bien y regarder, au plus près de l'Ecriture, de saint Irénée et du jeune saint Augustin.
Alors, oui, nous le désirons : « Maranatha, viens Seigneur Jésus ! »