Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
In How We Write Now Jennifer C. Nash examines how Black feminists use beautiful writing to allow writers and readers to stay close to the field's central object and preoccupation: loss. She demonstrates how contemporary Black feminist writers and theorists such as Jesmyn Ward, Elizabeth Alexander, Christina Sharpe, and Natasha Trethewey mobilize their prose to ask readers to feel, undo, and reassemble themselves. These intimate invitations are more than a set of tools for decoding the social world; Black feminist prose becomes a mode of living and feeling, dreaming and being, and a distinctly affective project that treats loss as not only paradigmatic of Black life but also an aesthetic question. Through her own beautiful writing, Nash shows how Black feminism offers itself as a companion to readers to chart their own lives with and in loss, from devastating personal losses to organizing around the movement for Black lives. Charting her own losses, Nash reminds us that even as Black feminist writers get as close to loss as possible, it remains a slippery object that troubles memory and eludes capture.