Au Brésil, il y a un metteur en scène qui s'appelle Martinez.
Il a monté une pièce d'après Oswald de Andrade, O Rei da vela,
il a étudié le théâtre de boulevard, il a oublié Brecht,
et la pièce est fantastique, très brechtienne.
Il a tout retrouvé, en se coupant pourtant de tout ce brechtisme,
et a fait un spectacle étonnant, fantastique.
Glauber Rocho, cahiers du cinéma, n° 217, juillet-août 1969