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Les oiseaux chantent dans tous les pays du monde. Louis Harenger le sait. Il a arpenté en VTT les chemins de la planète : des milliers de kilomètres dans les mollets avec cinquante kilos de matériel répartis dans ses sacoches et sur son dos. Ni vagabond ni apôtre, ce compagnon d’Emmaüs voulait visiter les communautés de l’abbé Pierre à travers le monde. Il l’a fait, parcourant l’Europe, l’Amérique latine, les États-Unis, le Canada... Étrange pèlerin qui ne ressemble en rien à ceux du Titien. En short, à vélo, presque aussi démuni qu’eux, il va rencontrer, ailleurs, ces pauvres qui s’occupent de plus pauvres qu’eux. Dans ces pages, à mi-chemin entre le carnet de voyage et le récit initiatique, il raconte qu’il est parti, fixant son rêve accroché au-dessus du guidon comme un marin qui garde l’œil sur les étoiles. Il ne savait pas ce qu’il découvrirait au bout du chemin, s’il trouverait, comme le lui disaient ses rêves enfantins, un trésor enfoui que personne d’autre que lui ne pourrait inventer. Alors il a pédalé... Il suffisait qu’on le regarde pour qu’il se sente léger. Il enchaîne les routes de France, d’Espagne, du Portugal, puis découvre l’effroyable misère des favelas, Recife avec ses routes impossibles et la police en grève, la communauté de São Paulo dirigée par une vraie Mrs Thatcher. Ce sont aussi les chemins du Chili sous une pluie décourageante qui inonde les camps Emmaüs. Ou encore une Bolivie figée depuis cent ans. New York à vélo où la splendeur des immeubles fait douter de la pauvreté de Harlem. Pendant son périple, Louis Harenger, heureux, volubile, a confié à son cahier ses aventures, ses émotions et sa tentation d’en rester là auprès d’une belle Brésilienne. Régulièrement, il témoignait sur Radio France Urgences. Au bout des routes poussiéreuses de la planète pauvre, il a découvert que la solidarité était la plus grande des richesses produites par l’homme.